Rêve n°2
Je suis invitée à dormir chez Ludivine. Je vais alors à l’école de musique. C’est là qu’elle habite ; le hall est encombré de pupitre et j’ai du mal à me frayer un chemin pour accéder à l’escalier. Cela me dérange qu’elle ne soit pas là pour m’accueillir. En haut de l’escalier, j’entre dans une chambre et je me retrouve nez à nez avec V. et L. qui étaient en train de faire l’amour sur le lit de Ludivine. Je suis choquée V. n’ai pas de pénis. Je demande en bégayant où est Ludivine. Ils ne savent pas. Ils ne sont ni en colère, ni rien du tout. Je suis neutre à leur yeux.
Je traverse un tunnel. Je suis sur l’autoroute dans une sorte de voiture futuriste avec mon père et ma mère. Je ne connais pas notre destination. Là bas ce trouve un immense hall. Tout autour les différents étages s’élèvent. Au milieu, le sol monte et descend comme un ascenseur d’un étage à un autre. Un restaurant y a été aménagé. Mon père est excité. Un monsieur nous indique une table où l’on doit manger tous les trois. Je me sens déçue car c’est en faite un dîner d’affaire. Une dame, une éditrice qui s’intéresse au livre de mon père, apparaît alors. Il explique l’histoire. Je m’ennuie. Je n’entends pas ce qu’il dit excepté la fin lorsqu’il raconte fièrement l’idée génial qu’il a eu : « Oui ! Vous comprenez c’est le bonheur absolu, la solution parfaite ! Elle est enfin heureuse, elle n’a plus ni jambe ni bras ni tête ! Ce n’est qu’un tronc tel un ver recouvert de peau humaine qui vie et se tord dans tous les sens. Tout le monde va vouloir faire cela maintenant» Les gens alentour applaudissent. Je la vois cette fille devant moi. Je trouve cela malsain et effrayant.